Édito

Ces dix dernières années, des progrès importants ont été enregistrés en matière de prévision numérique du temps. Ces évolutions ont permis à Météo-France de disposer de moyens permettant de mieux anticiper les phénomènes météorologiques dangereux et de donner l’alerte aux services de l’État et aux usagers. L’année 2017 en atteste avec notamment la succession d’ouragans dévastateurs qui ont malheureusement touché l’arc antillais en septembre.

Pour faire face aux événements extrêmes futurs, il est nécessaire de poursuivre les efforts de modernisation de nos systèmes d’observation et de prévision. Nous devons le faire en favorisant également l’émergence de nouvelles technologies, d’approches économiques à la fois agiles et opérationnelles et en développant une offre de services et de partenariats pour tous, pouvoirs publics, entreprises et citoyens.

Ce travail s’inscrit de surcroît dans un cadre général de transformation de l’État. En effet,à la demande du président de la République et du gouvernement, la démarche baptisée Action publique 2022 concerne Météo-France, au même titre que l’ensemble des services publics. De manière participative, nous avons donc élaboré un projet global d’établissement pour l’année 2018. Il doit contribuer lui-aussi à l’évolution de l’établissement.

Dans ce contexte mouvant, je tiens surtout à féliciter les équipes de Météo-France qui se sont mobilisées en permanence, pour transmettre l’information la plus précise et permettre aux services de l’État d’anticiper au mieux les situations dangereuses.

 

Jean-Marc LACAVE

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